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dimanche 5 octobre 2014
mercredi 9 juillet 2014
L'inutilité totale. (texte perso ©)

Bring them all back to life. Be the one they need. Awake their fragile souls, protect their tiny hearts. You are the healer, you are the one. Please, go and save them from who they are. Take them away from the monsters inside. They are waiting for you with their heavy minds and their bloody legs, waiting for light and waiting for peace, somewhere in the cold skies, somewhere in the dark clouds. Please, open the doors ; please, open this world to another reality. The graveyard and its ghosts, spirits and miracles, the pyre and its flames, burning their desires, they fall into ashes and they never come back, they all turn into dust and they cover their tracks. They chase what they can’t be, they use these huge bodies to feel human again ; haunting your memory, lying under your skin, and running through your veins. They hide in the shadows, they suffocate and cry, you don’t even hear them, you don’t even know why, but they are calling you. Fighting against darkness, screaming at the top of their lungs. Howling. Craving for love. Longing for peace. Look at them ! See them ! Please. Please. Set them free. Guide them ; they all deserve to go to Heaven. Help them cross the deep waters of Hell. Never surrender. Never give up. Demons can become angels, I swear. Oh God, teach them what's right... bring them all back to life.
lundi 19 mai 2014
Edward & Bella (texte perso ©) ♥

J’aime l’odeur de ton savon dans l’air du soir. L’eau tiède coule de tes longs cheveux et goutte sur le sol froid. La buée trouble nos vitres – tu y dessines un cœur du bout du doigt. Lavande, jasmin, la mousse sur tes seins. D’un rire juvénile, ton petit corps m’appelle… je n’ose pas répondre. « Viens ».
mardi 6 mai 2014
Geisha. (texte perso ©) !

Il paraît qu’un haïku se prononce en un souffle
Il paraît que ton cœur éclipse mon soleil
Il paraît que tu fais de l’ombre au cerisier
Quand le vent nu t’appelle, tu le suis en
chantant.
Il paraît que la nuit envie tes boucles ébène
Il paraît que la lune rêve de ta peau pâle
Il paraît que ta voix attire l’hirondelle
Qui porte le printemps jusqu’au bout de tes
doigts.
Il paraît que tu voles comme s’envole ton âme
Il paraît que tu courses le temps et l’étincelle
Il paraît que tu chasses les pensées amères
Et que tu les remplaces par des sourires d’enfants.
Il paraît que tu poudres tes pommettes hautes
Il paraît qu’on frémit en croisant ton chemin
Il paraît que le rouge appliqué sur ta bouche
A le goût des groseilles mûres au petit matin.
Il paraît que tu tiens la boîte de Pandore
Il paraît que tu peux l’ouvrir aux plus vaillants
Il paraît que leurs mains effleurent tes chevilles
Lorsque tu leur échappes de tes pas légers.
Il paraît que tu fuis leurs désirs incendiaires
Il paraît que tes voiles entourent leurs poignets
Il paraît qu’à tes seins leur liberté s’accroche
Et s’enlace aux délices dont tu détiens la clé.
Il paraît que tu danses et joues de leurs
fantasmes
Il paraît que tes transes mènent à la folie douce
Il paraît qu’une femme peut faire tourner le monde
Il paraît qu’un haïku se prononce en un souffle.
samedi 3 mai 2014
Eight ways to say "I love you".
Spit it into her voicemail, a little slurred and sounding like the shot whiskey you downed for courage. Feel as ashamed as you do walking into work in last night’s clothes. Wake up cringing for days, waiting for her to mention it.
Sigh it into her mouth, wedged in between teeth and tongues. Don’t even let your lips move when you say it, ever so lightly, into the air. Maybe it was just an exhalation of ecstasy.
Buy her flowers. Buy her chocolate. Buy her a teddy bear, because that’s what every romantic comedy has taught you. Take her out to a nice restaurant where neither of you feel comfortable and spend the whole night clearing your throat and tugging at your tie. Feel like your actions are more suited to a proposal than the simple confession of something you’ve always known.
Whisper it into her hair in the middle of the night, after you’ve counted the space between her breaths and are certain she’s asleep. Shut your eyes quickly when she shifts toward you in askance. Maybe you were just sleep whispering.
Blurt it out in the middle of an impromptu dance party in the kitchen, as clumsy as your two left feet. When time seems to freeze, hastily tack on “in that shirt” or “when you make your award-winning meatballs” or, if you are feeling particularly brave, “when we do this.” Resume dancing and pretend you don’t feel her eyes on you the rest of the night.
Write her a letter in which the amount of circumnavigating and angst could rival Mr. Darcy’s. Debate where to leave it all day – on her pillow? In her coat pocket? Throw it away in frustration, conveniently leaving it face up in the trashcan, her name scrawled on the front in your sloppy handwriting. Let her wonder if you meant it.
Wait until something terrible has happened and you can’t not tell her anymore. Wait until she almost gets hit by a car crossing Wabash against the light and after you are done cursing at the shit-for-brains cab drivers in this city, realize you are actually just terrified of living without her. Tell her with your hands shaking.
Say it deliberately, your tongue a springboard for every syllable. Over coffee, brushing your teeth side-by-side, as you turn off the light to go to sleep – it doesn’t matter where. Do not adorn it with extra words like “I think” or “I might.” Do not sigh heavily as if admitting it were a burden instead of the most joyous thing you’ve ever done. Look her in the eyes and pray, heart thumping wildly, that she will turn to you and say, “I love you too.”

vendredi 2 mai 2014
"When life offers you a dream so far beyond any of your expectations, it’s not reasonable to grieve when it comes to an end." (texte perso ©)

Aujourd’hui j’ai couru mais j’ai raté ton train. J’ai couru sur le quai, j’ai cru qu’il m’attendrait, j’ai cru à l’infini et au temps qui se fige, j’ai cru à ces histoires qu’on aime et qui nous brisent, j’ai cru à tes promesses à tes yeux à tes larmes, j’ai cru pour une seconde que tu rendrais les armes, j’ai cru que notre monde ne s’écroulerait pas, j’ai cru que tu perdrais ta volonté en route et que tu faiblirais sous le poids de tes doutes. Un simple instant j’ai cru que tu te retournais ; les danseuses dansaient, la musique coulait, tu étais encore là. Et j’ai voulu te suivre et j’ai voulu te prendre, j’ai voulu te saisir et toi tu m’échappais. Je courais sur le quai et le train démarrait, j’ai couru sur le quai et l’amour s’étiolait, j’ai couru sur le quai et tu disparaissais. J’ai crié sur le quai, j’ai crié au passé, j’ai crié aux passants, aux passants qui passaient sans même me regarder. A toi qui t’en allais sans même te retourner. Et ces rails et ton cœur et l’absence et l’amour qui s’en vont se défont s’amenuisent et s’étouffent, et ces voies ces douleurs le manque et ta douceur, la lumière et le quai les wagons et le jour, et ce train qui s’en va, s’en va en t’emportant. C’est la vie qui nous prend c’est la vie qui nous tue, et moi je n’y peux rien, et moi je n’en peux plus, tu pars avec ce train et moi je reste ici, tu pars avec ce train en me laissant si seul, je n’ai plus rien sans toi, et qui suis-je sans toi, moi qui t’ai tout donné, moi qui ai sacrifié mes rêves et mes jours mon souffle et mes silences, renoncé au désir et puis à ces alcools qui me volent la peine et m’offrent la démence, moi j’ai tiré un trait sur celui que j’étais, et moi je t’ai aimée, aimée à en crever, et toi tu prends la route et toi tu quittes le quai. Aujourd’hui j’ai raté ton train, aujourd’hui j’ai su qui j’étais. Aujourd’hui j’ai compris que la mort est facile, aujourd’hui j’ai compris qu’on n’est jamais entier, aujourd’hui j’ai compris, la distance rit de nous, elle rit de nous détruire et de nous déchirer. Aujourd’hui j’ai pu voir que tout doit s’en aller, s’en aller comme l’espoir et l’amour avec toi, s’en aller dans tes mains, s’en aller par ce train, et les rails de l’avenir s’étendent à tes pieds, et les rails de l’avenir connaissent le chemin, les chemins de nos vies qui ont pu se croiser, se croiser et le quai les danseuses la musique, l’horloge les passants aux regards ironiques, les wagons et l’alcool, ta voix et nos refrains, aujourd’hui j’ai couru mais j’ai raté ton train.

dimanche 27 avril 2014
Life fact. I'm nuts and I'm bored and I wanna be free.

I wanna shop, I wanna run, I wanna buy new shoes and new lipsticks and fangirl all day long, I wanna walk like a queen in town and I want people to look at me, I want them to admire me in fact, I want to be such a dramatic princess, I want to do girlish things and to wear high-heels and long dresses and be sassy. I want to be a ridiculously and extremely superficial lady. And fuck you all, by the way.

vendredi 25 avril 2014
Forbidden to remember, terrified to forget. (texte perso ©)

Il suffit de quelques notes. Quelques notes et tout revient. Rafale de sensations. Des souvenirs comme des gifles sur mes joues offertes. Quelques notes et ce parfum. Violence du passé qui glisse entre mes doigts. Sablier éternel ; j’aimerais tant avoir le temps. Avec nos choix, la vie avance – pourvu qu’elle m’emmène avec elle. Il suffit de quelques notes. Quelques notes et son visage, quelques notes, un rire d’enfant, quelques notes, et nos mains jointes. En mille éclats. Eclats d’amour, éclats de peine. Ces éclats d’elle et moi, ces éclats d’une époque, ces éclats d’une vie qui ne m’appartient plus. Quelques notes, cette chanson, quelques notes et je me perds. J’ai trop écrit de poèmes, j’ai trop gâché d’encre pour elle. Mais on n’aime jamais trop, et Dieu sait à quel point je l’ai aimée. Comment échapper à une mémoire encore trop belle, encore trop vive, encore trop vraie pour s’effacer ? Il suffit de quelques notes, de quelques mots, oh, Flightless Bird, c’est aujourd’hui moi ton oiseau, incapable de m’envoler. Quelques notes qui me clouent au sol, que j’affectionne et que je hais ; quelques notes qui renaissent éternellement et se déclinent en moi, insaisissables, comme autant de secondes perdues sans elle, perdues pour elles, perdues en moi. Perdues. Tout redevient flou, inexplicable, intouchable… pourtant mon âme vibre au rythme de son cœur, son cœur si loin du mien, je vibre avec ces quelques notes, je respire son parfum et je ris avec elle, là-bas, je chante avec elle, et je l’aime sans fin. Je rêve d’elle, je cours vers elle, et j’étreins la fumée de son souvenir, du souvenir de nos années intemporelles. Je prie pour elle, pour ce que nous étions, pour ce qu’elle deviendra. Je prie, je l’aime, et j’espère qu’elle s’en rappelle… Il suffit de quelques notes.

lundi 21 avril 2014
“You and I have seen nothing yet, our journeys have just begun.” (texte perso ©)

Je pense à elle, elle dans cette robe trop large, ses sandales abîmées. Elle était belle. Tu lui ressembles. Elle ouvrait les mains, et les nuages s’y reposaient. Elle fermait les yeux, elle baissait les paupières, et j’entendais le monde entier battre avec son cœur. Elle m’enrubannait d’amour à travers la solitude de nos jours perdus. Je pense à elle, à ses pieds nus sur les rochers, à ses boucles emmêlées. Je pense à elle, à la confiance et à la liberté. Tu lui ressembles. Elle chantait la Vie. Elle coursait le Temps. Et rien n’avait d’emprise sur sa douce mélancolie. Elle aimait cette peine qui l’emmenait plus loin, toujours plus loin de moi. Et j’acceptais. Elle levait les bras, et le vent l’enlaçait. Je ne pouvais rien faire. Elle se laissait guider. Elle disait que l’avenir importait peu. Qu’elle ne changerait jamais. Et que je lui manquais… Pas autant qu’elle me manquait. Je comprenais. Je la vois encore, nue sur le drap froissé, je l’entends rire aux éclats ; la lune ronde éclairait son visage, les étoiles s’échouaient au creux de ses reins. Tu lui ressembles. Elle savait l’Attente, elle savait l’Angoisse. De ses larmes coulait le soleil rougeoyant de nos longs soirs d’été ; au bout de ses doigts jaillissaient nos rayons d’éternité. Je pense à elle dans sa robe trop large, ses chaussures abîmées, et c’est toi que je vois. Tu te tiens devant moi, tu m’écoutes et tu pleures. N’aie pas peur. Elle m’a appris à être fort, elle m’a montré comment me battre. Elle restait muette, mais son regard pouvait blesser. Elle m’a tout offert, les mains et les paupières, la confiance et le vent, les bras et les désirs. Elle me laissait son corps, de ses lèvres à ses reins. Elle me prêtait son cœur, de son rire à ses larmes… j’aurais dû me douter que lui rendre deviendrait inévitable. Aujourd’hui j’ai les souvenirs, j’ai les couchers de soleil et les longs soirs d’été, j’ai les feux d’artifice au goût d’éternité. Et je ne serai plus jamais seul, puisqu’elle existe en moi. Puisqu’elle est mon maître, et me trace un chemin. Puisque ses aquarelles ont déteint sur mon âme, et puisque sa mémoire apaisera mes nuits. Pourquoi aurais-tu peur ? Tu lui ressembles. Le tissu déchiré, les chevilles écorchées, le monde et son sourire. A imploser de joie, à renverser la Terre, et à crever d’amour. Ce sourire. Ton sourire.
dimanche 13 avril 2014
I can't wait for Summer ! ☼ (useless post).

*Attempting to hide your desperate need for
breath after a short flight of stairs...*
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